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Le théâtre est-il un art de l'éternel ? Petite réflexion initiale sur le mythe de Sisyphe... en relation avec la nécessité de "répéter" et ce que cela peut signifier mais aussi d'incarner plusieurs personnages, plusieurs destins, et ainsi d'accéder peut-être à une forme d'éternité... A méditer ! Et à suivre !!!
Pour commencer, en effet, un cercle de tête à tête, front contre front, le choeur en mouvance... et la poursuite du travail sur la lenteur des déplacements synchronisés pour se couler dans le rythme et la pulsation du corps de l'autre.
Indispensable : faire travailler les zygomatiques... "stylo-torture" !
On ne peut pas trop vous en dévoiler... alors un flou, c'est toujours ça, non ?
Une voix s'élève pour la scène... elle affleure et bientôt prendra son envol et sera libre.
On ne peut vous en montrer davantage... Il faudra attendre un peu. En attendant, nous cherchons une salle de représentation pour le mois de mai !!
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Un début d'échauffement totalement pris en charge par nos lycéens qui commencent peu à peu à trouver une synchronisation collective plus fine, à travers des mouvements qu'ils parviennent à créer, cessant d'imiter ceux que nous apprenons tous par automatisme.
Excellent travail d'observation et de concentration qui fait naître sous nos yeux des esquisses de chorégraphie... à mûrir.
« Mon art est insaisissable. Il consiste à rendre l’abstrait concret et le concret abstrait. C’est-à-dire, rendre l’invisible visible et le visible invisible. Tandis que les artistes du film silencieux s’entouraient de décors, d’accessoires et d’êtres réels, dans mes spectacles de soliste je ne pouvais m’entourer d’accessoires stylisés et de personnes physiques : c’est l’art de l’illusion elle-même. », Marcel Marceau.
Quelques improvisations sur l'art du mime pour prendre conscience de la minutie à donner à chaque geste au théâtre et retrouver un peu de la lenteur perdue !
D'ailleurs, au sujet de notre allusion au mime Marceau, une petite question pour les curieux : quel est le nom du personnage qu'il avait créé ? A quelle oeuvre littéraire ce nom renvoie-t-il ?
Petit lien pour en savoir plus sur le mime Marceau : http://www.linflux.com/arts-vivants/adieu-marcel/
Poursuite de notre mise en scène... Du talent à revendre mais encore beaucoup de travail avant le final !
Une énergie qui affleure... Malembé, malembé comme on dit ici en munukutuba.
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A vos ordi, The Backpack Twelve !
Croyez-vous au destin ? Ou au hasard ? En tout cas, comme l'an dernier avec Matéi Visniec, nous allons certainement avoir la chance de pouvoir communiquer avec l'auteure de notre pièce !! Cette fois, tout dépend de vous !
Dans la continuité de notre pratique optionnelle, une immense surprise : notre auteure, Carole Fréchette, est invitée jeudi 8 février prochain, au théâtre de La Manufacture des Abbesses, à Paris, pour une rencontre avec le public au sujet de la mise en scène de l'une de ses pièces. A vous de découvrir le titre de celle-ci et de me le préciser vendredi prochain ! Pour les plus curieux, voici le lien du site de La Manufacture : http://www.manufacturedesabbesses.com/theatre-paris/la-peau-delisa/
Préparez vos questions et/ou commentaires rédigés sur la pièce que nous interprétons car nous pourrions les lui envoyer... N'hésitez pas à me les envoyer par mail.
Voici un album qu'elle a également publié :
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L'échauffement offre la liberté à chacun, suite à une progression de la pratique lente et assidue des premiers mois, de laisser s'échapper ce que les pensées auraient à peine soupçonné ou accepté de livrer là, au milieu de l'espace scénique, devant les autres. Et pourtant, le corps, comme par inadvertance, délivré sans prévision, offre alors de mémorables instantanés d'émotion et de surprise.
Suivons la toile subtile de l'araignée qui emprisonne le corps ou l'esprit pour le libérer ensuite sans ambages : entre les mailles des fils et l'implacable espace mur des rebonds qui nous renvoie à notre implacable petitesse...
Rebondir sur les murs... dépasser les limites de l'emprisonnement sociétal.
Déclencher le rire chez l'autre... pour le faire jaillir de soi dans un rôle. Un vrai défi !
Texte et mise en scène.
Au programme cette année : une pièce de Carole Fréchette que les lycéens ont découverte par morceau. Bientôt la suite...
Pratique régulière indispensable des scènes de groupe qui demandent un travail d'écoute, d'échanges et de complicité tant dans les regards que dans les attitudes et les intonations. Bref, il s'agit de trouver une cohésion qui donne sens à la pièce pour la faire résonner dans la tête du public.
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